Mise à jour 17 juillet 2025
LES HOMMES DEVIENNENT-ILS CHAUVES PLUS TÔT QU’AVANT ?
On peut se poser la question en constatant le nombre de publications concernant la calvitie précoce, la chute des cheveux et les traitements pour stimuler la repousse ou limiter la chute des cheveux. Chez Clauderer, nous observons effectivement une augmentation du nombre de diagnostics capillaires effectués par de jeunes hommes de 20, 25 ans, inquiets de voir leur crâne se dégarnir progressivement.
Quand on sait qu’en France environ la moitié des hommes de 50 ans et plus connaîtra une perte de cheveux significative, il est normal de se demander à partir de quel âge les premiers signes de calvitie peuvent apparaître.
Attention, les premiers signes de calvitie peuvent survenir très tôt
Plus précisément, d’après une étude internationale, 42 % des hommes entre 18 et 49 ans vont être affectés par une alopécie allant de modérée à intensive et c’est 16% de cas dans la tranche des 18-29 ans. Pour ces derniers, qui constatent les signes précurseurs de la calvitie comme :
- perte de densité capillaire,
- des zones qui deviennent dégarnies, plus clairsemées au niveau des golfes ou de la tonsure
- recul progressif de la ligne frontale,
- des cheveux qui s’affinent
- chute massive (+ de 100 cheveux qui tombent chaque jour) prolongée
c’est le signe que la calvitie débute déjà et qu’il faut agir vite.
Affinement, perte de densité, recul de la bordure frontale … ce sont les signes d’alerte d’une calvitie précoce, n’attendez pas !
La calvitie est un phénomène de grande ampleur parmi la population masculine et certains le vivent mieux que d’autres. Alors, est-ce que la perte de cheveux ou alopécie intervient plus précocement de nos jours qu’il y a 20 ou 30 ans ? Les adolescents peuvent-ils déjà être concernés par la calvitie ? Clauderer vous propose un état des lieux sur la chute des cheveux chez les jeunes hommes. Comment savoir si l’on est face à une chute anormale ou pas ?
JEUNE ET CHAUVE : C’EST DANS LA TÊTE, VRAIMENT ?
De nos jours, que l’on soit un homme ou une femme, et toutes tranches d’âge confondues, les injonctions à présenter la meilleure image de soi possible sont partout.
En réalité, peu importe les appels au « body positive », la tendance qui veut que l’on s’accepte tel que l’on est reste néanmoins minoritaire. Il suffit de jeter un oeil aux images des défilés de mode féminine ou masculine : où sont les chauves ?!
Les stéréotypes socio-culturels ont la vie dure et une chevelure masculine dense, exempte de cheveux gris, est toujours synonyme de puissance et de virilité, de séduction.
Donner la meilleure image de soi
Ainsi, tant dans la sphère sociale que professionnelle, pour un jeune homme, voir son crâne se dégarnir alors qu’il entre à peine dans la vie active peut générer stress et perte de confiance en soi. Dans ce cas, le moindre cheveu qui tombe est synonyme d’anxiété, qu’il s’agisse d’un cheveu naturellement en fin de vie ou d’un cheveu tombé prématurément dans le cadre d’une alopécie précoce.
Qu’elle qu’en soit la cause, le malaise n’est en aucun cas à prendre à la légère. Renouvellement naturel ou début de calvitie, il n’est jamais trop tôt pour prendre soin de ses cheveux, en freiner la perte et adopter la routine capillaire qui vous permettra de préserver une belle chevelure le plus longtemps possible.
CHAUVE PLUS JEUNE : QUE DISENT LES FAITS
L’alopécie androgénétique est responsable de la calvitie masculine dans 95 % des cas. L’alopécie androgénétique résulte d’une prédisposition génétique des follicules pileux à subir les effets néfastes des hormones mâles, les androgènes. Plus précisément, les androgènes sont transformés en une nouvelle hormone, la DHT ou déhydrotestostérone, après avoir été synthétisés par une enzyme, la 5 alpha-reductase. En résulte un vieillissement accéléré du cycle pilaire qui aboutit, si l’on ne fait rien, à des zones de plus en plus clairsemées, et même totalement glabres sur le sommet du crâne.
L’alopécie androgénétique : une histoire de famille mais pas que…
Alors, lorsque l’on met en regard ces statistiques avec l’âge des premières générations nées avec la banalisation d’internet et des réseaux sociaux (cela démarre avec les Millenials de la génération Y, soit 1980 jusqu’au milieu des années 1990 ), il n’est pas forcément étonnant de constater une recrudescence d’interrogations à propos de la calvitie sur le net (blogs, forums dédiés, comptes Instagram,…) de la part de ces trentenaires et + affolés par leur calvitie naissante. Très tôt, ils prennent conscience que « quelque chose ne va pas » et s’interrogent ou interrogent leurs pairs sur les réseaux pour savoir comment ralentir la chute des cheveux, stimuler la repousse et plus généralement comment avoir de beaux cheveux.
Et puis, outre le facteur héréditaire, on identifie plusieurs facteurs aggravants susceptibles d’accentuer le phénomène de la calvitie chez l’homme quel que soit son âge. Les causes d’une chute de cheveux sont en effet multi-factorielles.
Stress et calvitie
Le stress est l’une des causes connues et reconnues associée à la calvitie. Pourquoi ? Des études ont montré le lien entre niveau de cortisol (l’hormone du stress) et la chute de cheveux. Or, des recherches menées aux Etats-Unis par l’APA American Psychological Association établissent un lien entre âge et stress. Plus précisément, les jeunes générations, c’est-à-dire les «X» et les «Y» semblent éprouver le stress de manière plus prégnante que leurs aînés. Ils se sentent facilement isolés, seuls, et paraissent avoir des difficultés à faire face aux aléas de la vie courante. En d’autres termes, les jeunes générations stressent plus, plus tôt.
Le stress, l’ennemi des cheveux
Et la boucle est bouclée lorsque le stress de voir ses cheveux tomber accroît le niveau général d’anxiété, ce qui provoque une chute de cheveux encore plus massive !
Alimentation et calvitie
Un autre facteur aggravant la chute de cheveux prématurée est lié à l’alimentation. Les cheveux sont vivants et, comme tels, ont besoin de nutriments pour vivre et croître dans de bonnes conditions.Or, une carence en minéraux (fer, zinc,…) et vitamines (vitamines du groupe B, la vitamine D, etc,..) va non seulement affecter l’organisme mais aussi la pousse de cheveux en bonne santé.
Alimentation et chute de cheveux : ni trop, ni trop peu
Or le recours fréquent à une alimentation ultra-transformée favorise carences en nutriments de bonne qualité et excès d’aliments néfastes lorsqu’ils sont consommés en trop grande quantité : sucres, matières grasses, etc,… A l’autre extrémité du spectre, le choix d’une alimentation plus responsable mais pouvant exclure les protéines de manière trop stricte peut aussi impacter la bonne pousse des cheveux. Cette étude de 2018 conclue qu’une consommation insuffisante de protéines associée à des carence en zinc et vitamine D pouvait avoir un impact négatif sur la croissance des cheveux.
Aujourd’hui, les jeunes hommes tendent à perdre leurs cheveux plus tôt, la faute à des facteurs externes aggravants comme le stress accru et/ou une alimentation de mauvaise qualité qui peut générer une carence en fer et accélérer la chute des cheveux. Quand cela s’ajoute à la chute de cheveux d’origine héréditaire ou alopécie androgénétique, il faut freiner cette chute excessive dès que possible.
Finalement, une prise de conscience précoce de l’alopécie est plutôt un point positif : plus on lutte contre la perte de ses cheveux tôt et plus on pourra enrayer la chute rapidement et efficacement. Il n’existe jamais une seule cause à un problème et la calvitie n’y fait pas exception. Réelle ou ressentie, la chute de cheveux des jeunes hommes n’est pas anecdotique : des solutions existent pour redonner confiance à tous ceux qui veulent que leur image reflète le meilleur d’eux-mêmes.
Avant d’envisager une greffe et autres méthodes invasives de restauration capillaire, les Spécialistes Clauderer savent proposer des traitements anti-chute naturels performants, indolores et non-invasifs. Prenez rendez-vous !