Découverte sur les cellules souches du cheveu
En 2011, une découverte majeure bouleverse complètement les idées admises ! Jusque-là, on pensait qu’un follicule pileux qui ne produisait plus de cheveux était un follicule mort. Mais l’université de Pennsylvanie découvre le contraire : les follicules pileux d’individus rendus chauves par l’activité des androgènes (70% des hommes et 40% des femmes sont concernés, sous une forme plus ou moins sévère) contiennent autant de cellules souches de cheveux que des follicules pileux qui fonctionnent normalement. Ces cellules sont bien présentes mais elles ne sont plus actives
Mais alors quels processus conduisent ces cellules à ralentir leur activité, à produire des cheveux de plus en plus fins, puis à cesser de fonctionner ? De nombreux laboratoires de recherche à travers le monde décident de se focaliser sur la compréhension de ces mécanismes. Clauderer tisse des liens avec ces laboratoires et suit l’évolution des recherches. Petit à petit, on commence à identifier certaines protéines messagères qui ordonnent aux cellules souches d’enclencher la fabrication d’un nouveau cheveu. On détecte également d’autres protéines qui perturbent et freinent la pousse des cheveux, puis l’interrompent prématurément…
La recherche Clauderer
Dans le même temps, Clauderer met en place son propre programme de recherche. Son but est d’identifier des plantes dont les propriétés vont permettre d’intervenir sur les messages reçus par les cellules souches, soit pour stimuler ces cellules, soit pour les protéger contre les messages négatifs qu’elles reçoivent. Une fois ces plantes sélectionnées, Clauderer les assemble dans des proportions très précises et les résultats sont au-delà des espérances !
Ces associations de plantes (désormais appelées CERES-1 et CERES-2) produisent des effets tout à fait exceptionnels et largement supérieurs aux meilleurs résultats obtenus jusque-là par les autres traitements anti chute cheveux du marché, notamment le minoxidil.
